le nouveau monde (création)

de l'eau beacoup d'eau et tres peu de terre c'est le paysage de marlisir, de l'espace on dirait un oeuf, comme si un oiseau celeste avez deposer le fruit de sa création au mileu d'un noir d'encre avec seul la lumiére de l'etre aile qui tourne a des milliard de kilometres de marlisir comme un rapace attendant ca proie peut l'éclairer.
mais sur cette "terre" ou le jour et la nuit ne sont jamais prévisible, certaine chose pire (ou mieux) que sa créatoin existe.............

Le dieux amateur de surf éthéré qui s'approcherait à présent de Marlisir découvrirait un monde aux frontières bien marqués. Un seul grand continent dans l'hémisphère sud est éclairé puis tombe dans la nuit à mesure que l'oeuf tourne dans le vide cosmique. Mais autour de ce continent, des myriades d'archipels et d'îles colonisent le monde. Il y a aussi une grande masse rocheuse sous ce qui correspond au pôle sud, mais recouverte de glace elle semble inhabitable.

Elle ne l'est pas. La vie sur Marlisir est débordante et conquiert tout les espaces, sous les formes les plus diverses. Mais ceci est une autre histoire... Que nous développerons sans doute plus tard.

Tandis que nous restons accrochés à la planche de surf divin, profitons-en pour jeter un coup d'oeil aux satellites. Il y a 5 lunes : c'est beaucoup, mais pour l'instant il n'y a pas eu de collision. Il y a Tregerar, la minuscule lune bleue qui s'apparente plus à un astéroide rond ; Voltam, la lune des orages perpétuels à la surface changeante et pleine d'éclairs ; Rigolg, la lune dentelle qui semble criblée de trous, Bretelt, l'obscure lune sombre qui cache parfois la lumière des étoiles sans jamais refléter l'éclat du soleil, et enfin Otazar, la seul lune visiblement habité, aux délicats paysages ciselés, douces prairies vertes et grandes cascades d'argents. Oltazar n'a pas de mer, juste quelques grands lacs. C'est un contraste saisissant avec Marlisir.

Mais laissons là les lunes, et venons sur Marlisir, pleine de merveilles et de promesses encore fragiles, demandant une caresse pour s'épanouir.

Marlisir possède donc un continent avec une myriade d’îles, qui ne possèdent aucun nom ; enfin, pour l’instant. Mais laissons ça de coter, parlons de l’immense océan faisant pratiquement la planète.

Un océan tellement profond qu’à certain endroit l’eau est d’un noir d’encre. Dans ces profondeurs, toutes sortes de créatures y vivent, du calamar géant au léviathans en passant par le kraken. Il était donc dangereux de s’aventurer dans ces endroits, mais de toute façon, ce n’est que pour les affronter qu’on s’y aventure sinon cela n’a aucun intérêt.

Plus près de la terre, se trouve l’eau peu profonde, d’un joli bleu. Ici, ce trouvait les poissons, méduses, requins, sirènes…. Rien de bien dangereux en soi. Cette eau était plutôt froide, tout dépendait du temps ; mais elle n’en faisait qu’à sa tête. Il arrivait quelques fois qu’elle accepte de reculer mais la plupart du temps, elle avançai puis revenait à sa place ; Ce qui rendait les îles et le bord de mer inhabitable.

La vie tout entière est gouverné par les faluor : des milliers de petit être pas plus grand qu’une main mais vivant partout sur Marlisir, qui régissent l’équilibre de la planète jusqu’au fond des eaux les plus profondes. C’est être contrôle les sentiments et le envies, les tempêtes et les sécheresses, ce sont les représentant de la nature et tous les êtres intelligents les vénèrent, non pas par la puissance ni la crainte mais par le respect qu’il imposent et les bien fait qu’il apporte à Marlisir.